Salus
Membre
Messages : 6899
|
Posté à 23h07 le 18 Aug 17
Swiiiit ! (Sifflement admiratif)
Je laisse à Marcek le soin de transmettre à qui de droit !
Demain, d'autres textes faussés, et d'autres lots ahurissants !
(Que la nuit vous soit noire et douce, et vos rêves, de miel !)
|
|
Posté à 21h39 le 19 Aug 17
Salus me met aux abois
Car lundi je mets les voiles
Et vais suivre mon étoile
Vers les monts et vers les bois
D'une ré-gi-on typique
Où le piment mord et pique
Où nage le chipiron
Où se tranche le jambon
Où l'axoa savoureux
Vous emmène presqu'aux cieux !
Et pour retrouver Edmond
Et sa sublime villa
Arnaga me tend les bras !
Alors mettons en veilleuse
Ces corrections stu-di-euses
Au moins jusqu'à la rentrée
De nos petits écoliers !
|
Salus
Membre
Messages : 6899
|
Posté à 21h55 le 19 Aug 17
...Et donc, suite à la grève sauvage et sans revendications d'une certaine catégorie de personnel, que nous assurons de notre solidarité sans faille, nous ne serons en mesure de reprendre nos frénétiques activités correctrices que plus tard...
|
|
Posté à 22h02 le 19 Aug 17
Votre mansuétude ,Maître,
N'a d'égale que le sérieux de vos études !
Je prends donc mes congés et suis votre obligée !
|
Salus
Membre
Messages : 6899
|
Posté à 22h55 le 19 Aug 17
Salut, princesse !
- et cause moi donc moins gras -
(Ni mieux, ni d'être !)
|
|
Posté à 23h06 le 19 Aug 17
Anar, va !
|
|
Posté à 17h05 le 20 Aug 17
Pas encore partie et grâce à une remontée acide de ce poème malmené, ( acide pour le respect qui lui est dû !) je vous propose cette œuvre d'André Chénier qu'un dérapage dans la retranscription a éraflé ! Sniff ! Comptez, comptez, comptez ! Meuh !
Ainsi le jeune amant
Ainsi le jeune amant, seul, loin des délices,
S'assied sous un mélèze au bord des précipices,
Et là, rêvait la lettre où, dans un doux ennui,
Sa belle amante pleure et ne vit que pour lui.
Il savoure à loisir ces lignes qu'il dévore;
Il les lit , les relit , et les relit encore,
Baise la feuille aimée et la porte à son cœur.
Tout à coup de ses doigts l'aquilon ravisseur
Vient , l'emporte et s'en fuit. Dieux! Il se lève, il crie,
Il voit , par le vallon, par l'air, par la prairie
Fuir avec ce papier, cher soutien de ses jours,
Son âme et tout lui-même et toutes ses amours.
Il tremble de douleur, de crainte , de colère.
Dans ses yeux égarés roule une larme amère.
Il se jette en aveugle, à le suivre empressé,
Franchit torrents, buissons, rochers, pendantes cimes,
Et l'atteint, hors d'haleine, à travers les abîmes.
repris sur le site Poetica sur internet
Ecrit par André CHENIER
Tous droits réservés ©
|
|
Posté à 17h07 le 20 Aug 17
Attribution du lot, pour ne pas faillir à la tradition :
un sonotone en chewing gum pour la première oreille qui sera blessée par la dissonance trouvée dans le poème !
|
|
Posté à 17h08 le 20 Aug 17
premier vers sans compter
|
|
Posté à 17h11 le 20 Aug 17
Le sonotone t'est remis
avec bonhomie
si tu me dis
quel est le mot omis ?
|
|
Posté à 17h12 le 20 Aug 17
Mais je reviendrai, Violette, je reviendrai !
|
|
Posté à 17h13 le 20 Aug 17
Alors, je te ramènerai un piment d'Espelette enrubanné d'esperluettes !
|
|
Posté à 17h19 le 20 Aug 17
seul loin de ses délices
|
|
Posté à 17h24 le 20 Aug 17
Non, n'efface pas, cela fait partie du délire !
|
|
Posté à 17h43 le 20 Aug 17
Je suis maîtresse de ce post : je les ferai fuir, les méchants, à coups de pétoire et Pierre à coups de passoire !
|