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Auteurs Messages

Saintes
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Messages : 1614


Posté à 11h44 le 17 Feb 18

Je ne sais si déjà je vous ai un peu entretenu de ce sujet, et des vecteurs qui nous mènent sur nos routes dans la bonne direction et par bonne mesure si nous savons saisir le sens de l'existence. Il en est ainsi de nos pieds qui n'étant pas vraiment plats, nous mènent et ceci complète notre algèbre dans des espaces que l'on dit vectoriels et qui de la platitude ont la référence. Evidemment me dites vous et si nous voulions sortir de cette existence à courbure nulle alors il est là quelque chose de plus tordu, aussi me garderai-je bien de ne pas le développer dans ce parcours initiatique.
Je sens déjà que vous me critiquez car parlant d'espace plat cela vous intrigue, mais ceci est essentiel à votre corps car sinon à quelles contorsions ne faudrait-il pas se soumettre.
Comme vous le constatez est-ce bien en mathématicien qu'ainsi je m'exprime ? Oui mais à l'origine ce concept est très physique et avec celui de force en fait se marie non par force bien qu'à l'époque de Newton, Molière n'avait point encore brocardé le procédé. Il fallu en effet bien longtemps aux mathématiciens avant de s'en saisir et par un tour de force dont ils sont coutumiers développèrent la question pour en inonder les vastes plaines de la technologie.
De plus ayant découvert la matrice qui les absorbe et grands Dieux je ne leur prêterai pas pour autant une sexualité exacerbée, eux qui tutoyant le transcendant perdent peut-être un peu de sexualité, mais enfin est-ce bien nécessaire, ils transformèrent nos vecteurs qui ainsi se déplacèrent, se retournant ou non suivant que leur détermination fut très positive ou négative.
Alors parlant de la matrice, il en est de leur noyau, comme de la vie le germe de toute chose, générant les solutions de multiples équations, croissant exponentiellement dès qu'il s'agit de se multiplier, puis, dans le temps sans doute affrontées à certaines limites, oscillant ou marchant droit, enfin rien que de très humain cependant, telle une boite émettant dès que l'on lève le couvercle ce que l'on mit dedans. De cette matrice tournant et se retournant l'enfant marquera de son empreinte, digitale, bien sûr, quand elle expulsera avec l'enfant le placenta tel un vecteur, ce à quoi sans doute le jeune médecin est plus sensible que l'ancien, celui-ci ayant retourné la question dans tous les sens.
Figurez vous qu'à cette matrice, les mathématiciens qui n'en sont pas à une invention près, lui associent des valeurs propres, l'objet en l'occurrence nécessitant bien sûr une rigueur toute clinique. Alors il en est de celles-ci, comme des poupées emboîtées, matriochka de l'algèbre linéaire, qui s'amincissant s'étirent à n'être plus qu'un fil de fer. Mais là nous pouvons imaginer une autre scénographie qui est l'exact contraire de la précédente et qui de notre parturiente fera gonfler les entrailles à vouloir se faire aussi grosse que le bœuf et dont le destin est aussi éclatant que celui de note pauvre grenouille.
Allant plus loin dans la conception nous pourrons envisager, au-delà de cette valeur propre, les effets contradictoires de l'un et de l'autre si pour des jumeaux notre matrice se mêle de couver. Oh vous le voyez bien, il n'est sans doute ici question que de coucou qui grandissant sans mesure étouffe, quand il ne l'expulse pas, le confrère du nid. Ne s'en dégage alors de cette situation qu'une immoralité profonde, le gros ne faisant plus place au petit.
Enfin, toute valeur est vecteur d'une morale et il en est à chaque fois ici un ou plusieurs tout aussi propre qui à chacune donne sa dimension. Leur somme donne à l'espace la sienne, et il est bien rare que celle-ci réduise à néant le noyau, ce qui ne serait alors que de l'idéalité car même dans les religions toute créature divine possède de l'animalité. Au-delà du noyau de cette matrice il nous faut ajouter, toutes ces sensations qu'à l'enfant père et surtout mère transmettent, qui ne sont autres que vibrations, fulgurances, agitations, harmonies et qui à développer les sensations de l'enfant à venir subviennent.
En fait notre matrice n'est qu'un formidable opérateur qui à distiller les fonctions se mêle, les ajoutant à celles plus vitales, développées par le noyau, tantôt dérivant, tantôt intégrant.


Ancienmembre
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Messages : 395


Posté à 09h27 le 26 Mar 18

la fin m'intéresse

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