Monoïque
par Ori
Andros et Guné se disputent,
Frère et sœur, unies à tout jamais,
Un regard, un seul, ils transmutent,
Echos en perspectives dans la psyché.
Andros et Guné, ils se bousculent,
Laissent le corps et l’âme fatigué,
Si contre eux on entre en lutte ;
Si difficile de les accepter.
Juste laisse vivre se cowboy, bien mâle,
A l’âme indienne bien femelle,
Et lâcher la dualité qui avale,
Laisser cette énergie pulsionnelle.
Andros et Guené sont en paix,
Ont accepté leurs origines,
Maintenant il peut arriver,
Sereinement, l’Androgyne.
Poème posté le 16/05/18