Au bord du néant
par Postman
Ailes à l'accidentel.n'aient de terre un vide
Vers des ailleurs à l'invivable ride
Par le néant des tas un peu rigide
Du coté des cieux
limpides
Ailes à l'improbable;n'aient des eaux limpides
Vers l'élan à effleurer une source avide
Par les mots des tas toujours livides
Invente l'oiseau candide
Chante au mieux
Un prélude
Si tout la-bas;terres et mers à l'odeur des oxydes
Au bord du monde;à la lueur d'un soleil fétide
Se décompose un univers;aux traces fluides
Un devenu néant;s'agrippe une vie torride
Vivifient les battements d'ailes
Un oiseau morbide .
Poème posté le 12/09/09