A vous
par Domino
J’ai posé mon cahier
Tout près de l’oreiller
Qui recueille mes larmes
Dès que je me désarme.
Je le laisse recueillir
Les maux qui m’affaiblissent
Que je ne veux vous dire
Mais que mes traits trahissent.
Je lis dans vos regards
Cet amour infini
Que sans aucun égard
Vous posez sur ma vie.
La force de poursuivre
Soyez-en assurés
Je la puise pour vivre
Dans le seul verbe Aimer.
Poème posté le 02/11/09