Scories
par Dom1
Il n’est point de sentier,
plus dur à pénétrer,
dans les scories verdâtres,
de notre jungle en plâtre.
Crois-moi, tu es éponge,
prenant prétexte aux songes,
pour libérer tes craintes,
sans les vouloir feintes.
Osmose des regrets,
mélange des souhaits,
ces mots en apparat,
au fond, sont déjà là.
Se mentir est futile,
puisque tu es docile,
à l’idée de pardon,
dès la fin de saison.
Crois-moi, tu es si forte,
autant que moi suis lâche,
dès que s’ouvre la porte,
je prends l’Escalator.
Les scories le plus fort...
Poème posté le 07/04/10