Le Spleen de ma Mélancolie
par LuneDeTristesse
Certains jours s’affichent eu spleen de la tristesse.
Le matin se lève avec ce fameux rêve…
Au fin fond d’un sommeil… s’en aller dans ce rêve…
Ne plus ouvrir les yeux pour s’endormir avec l’enchanteresse.
Les jours des défilent dans le tourbillon de la vie.
Les yeux s’ouvrent et il n’y a plus personne.
Puis cette chanson dans la tête résonne…
Un air de sympathie dan s la Mélancolie.
Mes yeux se ferment face aux regards qui s’étonnent.
L’orage assombrit ce ciel, la pensée s’éclaire puis il tonne…
Mes yeux s’ouvrent sur cette fenêtre laissent entrer
Un peu de soleil pour un peu de bonheur à donner.
Il y a des jours où tout au fond de ce rêve,
Je voudrais qu’il n’y est plus personne.
Puis ces journées se lèvent et je ne suis plus personne.
Alors mes yeux se ferment et le voyage songe au rêve.
Hors quand la pensée effeuille les gens que l’on abandonne.
Le film de la vie défile sur les bonheurs que l’on donne
Dans ce théâtre où les places vides font place au rideau tombé.
Peu à peu, je m’étonne d’avoir succomber.
Quand vient le soir sous l’arbre des soupirs,
Le livre ouvert prend de temps et respire…
Les promeneurs se promènent... tout reste pareil.
A travers quelques mots, une futile cavale prête l’oreille.
La Nuit s’invite sous un voile de fraîcheur.
Mes yeux s’accrochent à cette blancheur,
Si lointaine, si proche à la fois. Tout n’est que mystère
Dans cet Univers où mes pas s’affichent solitaire…
Poème posté le 06/11/11