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Poète
Ses poèmes libres
Rêverie estivale
Canicule
Girouette au ciel de Provence
Derrière les volets clos
Le cimetière écoute
L'ombre grise
Non nous ne sommes pas morts !
Quand on est grand
Surtout ne pas sonner
Le retour du Printemps
Les lilas blancs
L'air natal
La ballade des poètes
Voiles de nuit
Un nuage d'amour
Tempus fugit
Au temps des chrysanthèmes
La ronde provençale
Mon arbre du nouvel an
Premier amour ne s'efface jamais
Fleur et voiles de poésie
Les pêcheurs de beaux jours
Le jeune homme à la moto
Au café des flots bleus
Le petit chat dans la prairie
Petit pantin de bois, qu'as-tu dans la caboche ?
Au fond de nos valises
Septembre sur le vieux port
En vous offrant des fleurs
Ballade à Emilie pour un rêve bleu
Les loups sont de retour !
Coeur de femme aux cordes dorées
Le temps que peut durer un rêve
Premier Avril de ma jeunesse
Poète et violette
La rose et le papillon
Lorsque je ferai mes bagages
Saint Valentin s'en vient et on pense au bonheur
Prière à l'été qui s'en va
Je voudrais
Ils sont partis au loin...là-bas
Le carillon de l'Avent
Evasion
Veuvage
Chanson d'Avril toute de plumes et de brindilles
Lorsque la lune allume ses grands yeux étonnés
Moisson de rêves
Tu es parti pour quelques jours
Le secret du psyché
Un grand bonheur est arrivé !
Histoire pour enfant sage
La nuit de tous les dangers
Emoi dans la forêt
Le porte-bonheur
Parmi tant de mystères, il est l'Ankou des mers
En la nuit de Noël, il est une chapelle
Poème pour un coeur esseulé
Ma lampe du jour de l'an
Froidure
Acrostiche d'amour
Ouvrez grand votre porte
Tournez tambours, voici le temps du bel amour
La vierge de la mer
Toujours debout
Secret de rose
La maison au bord de l'étang
Entrouvre la fenêtre
Tendresse automnale
Jean de la lune, le lutin de Noël
Un verre de porto ?
A l'ombre de nos coeurs
Les djinns sont revenus en grand tohu-bohu
Le blues des heures sombres
Marie, virgule
Derrière les volets clos
Derrière les volets clos
Se murmurent des mots
En toute intimité
Ou bien en grand secret...
Mais le grand vent moqueur
Veut les porter ailleurs
Et secoue de son mieux
Les volets poussièreux.
Les mots ainsi livrés
Aux courants d'air glacès,
S'envolent et s'agglutinent
Aux fenêtres voisines...
Fenêtres indiscrètes
Qui seront vite ouvertes
Pour permettre aux maraudes
D'en faire des gorges-chaudes.
De cancans étonnants
En ragots stupéfants,
Ces phrases seront lachées
Aux places des marchés
Où quelques pipelettes
Sur tambours et trompettes,
Feront tous leurs efforts
Pour les clamer plus fort.
Ainsi s'en vont les mots
Comme des oripeaux
Déchirés par le vent,
Par le grand vent méchant.
Ecrit en pensant au poème de Victor Hugo : jeunes gens prenez garde aux choses que vous dites
Ecrit par Mijo
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