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Poésie libre / Le douze, douze, deux mille douze
              
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Le douze, douze, deux mille douze
par Colibri


Dans la ville de Bedouze, Les lampions du club-House, Irisent la verte pelouse, Où nul animal n'y dépose de bouses. En service les barbouses, Acceptent beaucoup de flouse, Surtout pour cacher les partouzes du club-House. Lorsque viennent les épouses, Revêtues de belles blouses, Avec aux doigts leurs baguouses, Elles se dévergondent, Deviennent voyouses du club-House. Vous voulez faire partie du club-house ? C'est trop tard, Il n'existait que Le douze, douze, deux mille douze.

C'était juste un amusement avec 10 mots ayant la consonnance " ouse "

Poème posté le 01/01/13


 Poète
Colibri



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