Amalgame
par Aguirre
Amalgame
Un bois flottant s’est échoué
Un petit soldat veille
les portes sont fermées
et tombent les Melgueil
un silence de rancœur
des destins tourmentés
des jours meilleurs
en juillet c’est l’été…
un soldat prend peur
Une tempête menace
Flottent les ardeurs
Dans une mer basse
Une poupée regarde
Une poète se réveille
Un amour s’attarde
Remontent les Melgueil
Triste poupée démembrée
Par des racines enchevêtrées
Regarde le poète et le soldat
Dans la toile et les entrelacs
Un chant au large murmure
Les sept couleurs du vent
Le 7.6.2014
Pour mieux comprendre, ceci est la suite de "Amour déraciné" "désillusion" et de "la poupée et le poète"
Poème posté le 11/06/14