Soleil couchant
par Saintes
Soleil couchant, rouge horizon
La presqu’île du Cap-Ferret
Sombre filet tout incendié
S’étend lasse de tout son long
La lourde étoile descend
Par les pins, demi-masquée
Dans son subtil mouvement
D’azur est la voûte céleste
Déjà un peu sombre à l’Est
Mais lumineuse et très profonde
Colore d’un bleu métal l’onde
La mer s’agite les vagues
Ondulent sous la jetée
L’enserrant comme une bague
Je suis appuyé dans la brise
Pins, tamaris, font une frise
À la plage devenue sombre
Faisant écho à cet Est d’ombre
Mais brumes en altitude
Se colorent d’indigo
Donnant à l’eau couleur rude
Le soleil s’est alors couché
Mais je le sais la terre tourne
Sur elle-même tête tourne,
Tout ivre, allons nous coucher.
Poème posté le 13/08/15
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