Regrets
par Nihilisteo
Combien ai-je regretté de ne pas t’avoir assez aimé,
Dans le passé avant ton adolescence envolée,
Ô Mon Enfant toi à qui on croit avoir tout essaimé,
Ce voyage vers ta destinée à laquelle on t’a convolé
Départ jamais digéré par tes vieux inconsolés.
Et le vide que tu as laissé dans leurs cœurs blasphémés.
Devant ces larmes criblées par les orages
Qui tant de fois ont secoué nos visages,
Combien de fois, on a essayé d’effacer par des calandrages,
Ton image est toujours présente dans notre paysage.
N'ai-je pas essayé de t’oublier en vain véniels plâtrages. ,
Grand est ton parcours; récompense de tes efforts
Grande est ta modestie, valeur de ta richesse,
Garde ta jeunesse tu n’en seras que plus fort
Géant est l’Amour dans le cœur de ta duchesse.
Où l'on vit, les larmes de gestations et la joie,
De celle qui t’a hébergé neuf mois en utéro-villageois.
Te voilà adulte et bientôt de nous tu seras bien loin
Prends ton destin en main tu en as les moyens
Garde en ton cœur une place pour tes deux pingouins
Qui sait ce que l’avenir réserve à notre couple kafkaïen
Sois juste mon fils avec les autres et comble-les d’amour
La vie est si courte caresse-la du cœur rempli de mamours.
09/08/2008
Poème posté le 24/08/17