Solitude
par Mona Farbiu
Elle frôle un gouffre éphémère
Et souffre, sans contrôle, d'être amère
Etreignant ses souvenirs comme des fers
Qui la brûlent
Au déplaisir elle s’accoutume
Assise sur des lits de fortune
Agir, subir, être ou déplaire
Tant de vitrines dans son musée
Le cœur en vrille si tôt levée
Trop de regrets à ciel ouvert
Alors…
Tenter de vivre
A quitte ou double
Poème posté le 07/09/17