Tendres prémices
par Pieds-enVERS
Revêt ta robe blanche tes dessous de soie,
Viens contre mes hanches entrelaçons nos doigts.
Allons danser ma douce, mais hélas il pleut,
Ton rire éclabousse essuie tes beaux yeux.
Le soleil refleurit sur les herbes tendres,
Couche-toi ma mie laisse-toi surprendre,
Comme des enfants roulons dans le foin,
Tout en vendangeant ton corps et le mien.
*Oh ! le grand coquin qui parle tendresse
Jouant de ses mains sur mes rondes fesses,
Tes lèvres esquissent des fleurs en dessins
Qui s’épanouissent au bout de mes seins.
*Tu ne peux mon tendre ôter ton caleçon
Car là haut les anges veillent à la moisson.
-- Ecoute mignonne L’AVE MARIA
Qu’un séraphin chantonne riant aux éclats
Et c’est ainsi que …..
Déployant ses ailes dans son nid l’aronde
Accueille en pucelle le chant de l’oiseau
Poème posté le 29/03/15