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Marine
par Banniange


Quand les lueurs de l'aube dissipent les brumes Et que la mer secoue ses vertèbres d'écume Une mouette jette son aile à la lune Qui dignement disparaît derrière les dunes Un vent de lumière descend de la montagne Puis parcourt en soupirant la douce campagne Le sable, larme minérale du soleil Frémit en dispersant les heures de la veille Et la plage accablée des morsures du sel Cache des étoiles près des rochers mousseux Ces vies futiles fuyant les vagues mortelles Un mirage tremble sur le rivage bleu Alors que la houle emporte les chants d’Éole Au creux d'un coquillage leurs choeurs se consolent.

Promenade matinale le long de la médité(rannée)...

Poème posté le 10/12/15


 Poète
Banniange



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