Il se faufile doucement
À l'affût d'une demoiselle,
Dans cette foule il ne voit qu'elle
La pistant ...inlassablement
Une main juste sur le cou
Il la force à baisser la tête
Claque des doigts et c'est la fête
La fille s'endort sur le coup.
Il lui parle au creux de l'oreille,
dictant ses ordres dangereux.
Ils sont pris pour des amoureux
Et pas un bruit ne la réveille.
Dans un beau car aménagé,
Il lui fait faire ce qu'il aime...
Ce vieux pervers à ce qu'il sème,
Oubliant de la ménager.
Puis doucement la raccompagne,
Sur le banc vert du parc au loup,
La délivre du regard flou
Et puis... repart dans sa campagne.