Tu vois quand je parcours tes élans de tendresse,
-Tout au long de mon livre imaginant le jour.-
Quand tu parles tout bas, quand tu me fais la cour,
Je ressens ô combien la douceur de l’ivresse.
Dans la grâce des mots souvent je le confesse
Je me blottis heureuse au creux de ton amour
Mon cœur tout près du tien frappant comme un tambour
M’invitant à reprendre une belle jeunesse.
Et toi dans tout cela, toi mon grand ténébreux
Toi qui fuyais ce jeu, toi qui restais mythique,
Crois-tu qu’un beau matin, tu seras amoureux ?
Viendras-tu pour m’offrir une histoire féerique
Celle qui fait rêver, celle qui rend heureux
Viendras-tu pour graver ta parole en musique ?
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