Les associations
par Gerachau
Depuis la nuit des temps
comme volent au vent
sans compter les dépenses
au milieu de l’opulence
comme l'arbre en automne
par le vent feuilles s'envolent.
Tandis que bien des gens se donnent
par peines et fatigues folles
des cadences, du rende.ment.
Pour avoir de l'opulence
juste quelques feuilles seulement,
à peine de quoi vivre simplement.
Dans le monde entier
est un règne sans pitié:
le vent de l’égoïsme
que la misère persiste.
Même si une brise souffle,
contre la misère du monde
par différentes associations
apportant un peu de bons
n'est il pas une honte
dans ce monde en évolutions
sans partage ni compassion?
Honneurs aux associations.
Dans ce monde d'injustices toujours en évolutions mais pas pour tout le monde.
Poème posté le 27/05/16