Rimbaud
par Gaelick
Oh ! Fleurs d'étoiles luisent comme les onces d'or
Des bleuïtés naïves d'un vieux fou qui pleure
Comme je rêvais la folle jeunesse poétique
Lui vient pourrir en des aires rachitiques.
Oh, fleurs finies tu es parti pour ton enfer,
Qui geins loin de nous en d'autres magnificences
Romances se sont tues par ta tragique fin
Comme on rêve de toi en d'autres soirs de Juin.
Il fut un voyant qui nous éclaira de sa bougie, si ce n'est de son immense flamme.<br />
Poème posté le 08/06/16