La faiblesse de pleurer, sécrétions lacrymales.
L'émotion sanguinaire d'un mal obtus, malfaisant.
Le coeur déchiré, des plaies ouvertes, noirceur.
Chagrin néfaste qui balaie le désarroi malveillant.
De la douleur à l'extase d'une fin atroce.
Malveillance, déchéance d'un corps sans rime.
L'espoir, le désespoir grandissant, liquide aveuglant.
Des yeux perdus, divagation, le malheur absolu.
Le pas titubant, paroles sourdes à l'écoute amicale.
De la rage étouffée, aucune solution au désarroi.
Coulent ces gouttes, des pleurs larmoyantes.
La solitude, affliction, une lourde page à effacer.
Un lit songeur, visage massacré, peu de candeur.
Des trémolos au passage d'une vie bouleversée.
Rideaux saccagés à l'approche d'une nuit apaisée.
Commentaires: Des pleurs à l'image de notre désarroi.
Des peines difficles à effacer, un combat
continuel, un parcours vers une délivrance
souhaitée.