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Le cinéma
par Claudel


J’ouvre mes paupières vers cet écran de vie Qui s’élève en ce lieu comme un grand pont-levis. La foule est complice de ce rêve qui ose; Nous sommes le soleil et la mer en osmose. Quelle chose belle, cette évasion épique! À fleur de peau, ah! telle une exquise musique, Une larme de joie caresse ma joue rose; Mon bonheur repose dans cette apothéose. Fée enchanteresse et sirène nous ravivent; Tragédie, horreur et comédie nous captivent. Prince d’un art nouveau, le cinéma revit. Cyclope, centaure et dragon nous terrorisent; Vampire, fantôme et spectre nous traumatisent. Cent ans de prodiges, le septième art survit.

Claude Lachapelle / juillet 2016

Poème posté le 12/07/16


 Poète
Claudel



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