Souvenir d'un village ou les anges volent
par Leonard
D'un village où les ânes volent
Bien que tout passe, que ne fane
Jamais pourtant, aux fleurs de l'être
L'intelligence en sa membrane…
Y celle nous sert d'altimètre
Quand nos amours légères planent...
Si haut tout semble disparaître
À part les anges qui font l’âne !
Si j’atteignais si près du firmament
Clair un espoir sûrement illusoire
Je saisirais ma flasque pour y boire,
En équilibre, un petit complément,
Puis j’écrirais le chant d’une mémoire
Qui me revient d’un long éloignement...
Bien que tout passe, que ne fane
Jamais pourtant, aux fleurs de l'être
L'intelligence en sa membrane…
Y celle nous sert d'altimètre
Quand nos amours légères planent...
Si haut, tout semble disparaître
À part les anges qui font l’âne !
…
allo ? <br />
Oui, ne quittez pas... je vous passe le syndicat d'initiative !