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Labeur
par Colline


Le partage se profile et réfléchit en rêves Chaque instant, année du matin sans trêve A l'Occident, se pourchasse l'utopie, Éclaboussée dans les leurres de la vie. Le pointillé scintille et s'embrève La frontière que l'horreur traîne, Souligne dans le noir, sous la grève, Les pas de ses oubliés sans dents. Sur le silence se mortifie et se scelle Chaque douleur a sa plaie et son saignement, Espoir et souffle font augmenter les écuelles Sur le dos large entre menteurs et boniments. Comme l'image fige et parsème Les croyances et volontés portées par la foi La réalité se déguise de faux 'aime' Et la cruauté est pourrie par la loi.



Poème posté le 20/07/17


 Poète
Colline



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