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Nature
par Coeur de poete


Pluie métrononome Les premières mesures de goutte Ton sourire l'horizon Tes yeux le lever de soleil Ton front le ciel bleu Le reflet dans l'eau qui te regarde à l'Anvers Toi l'amsterDame de mon Pays Bas je te vois grandir Tes mains sous la ligne dans les jeux d'ombres romantiques Dessiner, écrire ce qui n'est pas encore Quand le jour paraît , il repousse au delà des cieux ce qui sera demain Car aujourd'hui cache le jour d'après ,il en a toujours été ainsi C'est toi qui la fait se lever Mais demain si ce n'est pas toi Elle se lèvera quand même Il en a toujours été ainsi La veille de Noël tu voudrais la nuit très courte Tu voudrais surprendre Mais la lune surveille La nuit paillette :toutes les étoiles brillent ;une robe de soirée Mais tu dors quand même jusqu'au matin Plus tôt que d'habitude Le sapin qui te semblait très grand Est devenu plus petit Il a perdu un peu de sa grandeur Ce sont les cadeaux à ses pieds que tu regardes Il est passé Il en est ainsi depuis le père Noël Les rubans des paquets comme des serpentins Papiers cadeaux confettis Boites sens dessus dessous On a fait la fête ici Faire des cadeaux il en est ainsi Le jour qui se lève comme un grand paquet qui s'ouvre Enveloppée par la nuit qui se déchire en lambeaux de jours Des serpentins de nuages rouges comme une nuit endolorie Pas assez dormi ou est ce la photo flash traditionnelle Qui donne les yeux rouges C'est noël ; on oublie les jours Loin des c'est quand Noël Le calendrier de l'Avant qui fait patienter Pourtant le jour se lève tous les jours Sur une fenêtre du monde dont on ne sait quelles nouvelles Mais ce n'est pas Noël Il faut la nuit des étoiles ,l'éclipse de soleil , de lune Sinon pourquoi Sauf voyages la voie lactée dans le désert , la nuit boréale Tiens il pleut, il neige La météo qui nous préoccupe Comment allons nous passer la journée Mais une journée sur Terre ,la routine Un jour elle va s'éteindre aussi Mais si Dieu existe la terre sera toujours là Les incertitudes ...tant que le monde existe Toi comme un lever antropomorphe On en oublierait la nature qui nous entoure Pourtant elle est ton quotidien Ceux qui sont partis sont au ciel La nature a ses printemps , ses naissances Et la vie repart Une feuille morte fera du terreau Fera repousser Le grand guignol , le grand théâtre Le rideau de la nuit s'ouvre , le soleil se lève Le fil de la vie pour les grandes marionnettes La mer défait ses rouleaux de vagues Le vent lisse ses grands cheveux



Poème posté le 22/12/17


 Poète
Coeur de poete



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