Elle est haute,comme trois poires
Et une revue pour sufragettes
Pourtant elle voudrait tant croire
Que mère Nature est très honnête
Fi de ses quatre vingt dix livres
De ses quatre pieds six pouces
De sa figure glabre et si douce
Son coeur est recouvertde givre
Elle conduit en rang, a la bataille
Des légions d'amazones furieuses
Qui les mâles brisent et taillent
Afin d'être enfin heureuses
Soit il maudit l'affreux barbu
Qui aime tant la voire toute nue
Mater ses fesses et ses hanches
Dieu, quelle affreuse déchéance
Tous ces vicieux seront pendus
Haut et court en place de Grève
Guerre sans pitié et sans trêve
A Femme, la terre sera rendue