amoureux au bord d'un lac
par Coeur de poete
Prendre "pensions " à l'auberge de tes yeux bleus
Auberge au point ephémère le temps de nuages blancs
Tes yeux céruléens ,les miens marins
Auberge au point éphémère le temps de l'écume
Lorsque l'agitation a cessé nous faisons
Nous n'avons plus l'esprit agité
Pendant le trajet qui va nous rencontrer
Nous n'avons plus le sommeil agité
Des nuits où nous dormons seuls
Auberge au point éphémère le pavillon est agité
Le temps d'un vent psychiatrique
Le drapeau est vert nous pouvons nous enivrer d'un bain
Les yeux mouillés ,le corps inondé de plaisirs
La crue d'une passion effrénée
Quand la nuit tombe , la vague apporte la claque
Ne pas déranger
Au petit matin , l'épave n'est pas une chose sans maître
Le mobilier d'un acte arrangé
Auberge éphémère "qui caresse le soir le grand lac"
Guillemets de Baudelaire
Dans cet air marin on voit au loin , un point
C'est la pupille de leurs yeux réunis
Poème posté le 19/02/18