Salol
par Solene
J'ai vu tes yeux injectés de groseilles se trahir
Pauvre petite sirène imbue des ses pas à médire
Tes vers ne sont qu'un charabia vulgaire et plat
Sous la corde tendue de ton règne déesse de rats
Tes jeux te ressemblent, piteux dans leurs méandres
Et s'il n'est qu'un regard qui sache bien le voir
Je suis celui là , quand tes potins dans leur jaguar
Sont destin à salir pour ton appât rance à vendre
Tu peux continuer ton manège ridicule et idiot
Pauvre folle gercée de l'écume des faux semblants
Il fait beau sur l'enfer de ta langue claquant au «trop»
Tu n'es qu'un vermisseau de son égo tant accroc
La forêt rouillée de tes traces à la vue qui se mêle
Sont le tronqué intense de ta limite à percevoir
Lourde est la vie qui décore ta sinistre cautèle
Où s'inscrit en filigrane: «je me prends pour un phare»!
Poème posté le 04/08/09