Par les Romains dédié à Jupiter Capitolin,
Le temple protégeait alors la Citadelle,
Tous les chemins n’y menaient pas, mais l’un,
Sous les cyprès, jusqu’au rempart approchait d’elle.
Grands et musclés, avec des ruses de félins,
Des guerriers bariolés aux casques ornés d’ailes
Avançaient doucement : le silence opalin
De la lune observait, d’en haut, la sentinelle
Sur sa lance appuyée, et debout somnolant,
Tandis que l’ennemi, précautionneux et lent,
Aux murs entreprenait de dresser des échelles
Dans l’ombre, en évitant que quiconque les voie.
Ils allaient réussir leur invasion mortelle
Quand retentit soudain le cri divin des oies.
<br />
Un lecteur, qui ne veut que des alexandrins "passés au papier de verre", m'oblige à proposer de "Raté !" une nouvelle version, différente, mais peut-être plus impeccable et satisfaisante. Pardonnez mes maladresses de débutant !<br />