J’aimerai bien t’aimer
D’une fleur effleurée
D’une touche te toucher
J’aimerai trop t’aimer
Quelques ingrédients dont l’un est connu
Une touche de couleur insoupçonnée
Tout bascule dans l’inconnu
Dans le soupçon de déjà né
Un poil d’airain au creux de tes reins
Et je bascule, serein, dans l’au-delà
En dehors de l’imagination, hein
Tu m’ensorcelles, c’est déjà çà
Je me fuis dans les buis
Ta cyprine est l’enduit
De mes murs de l’oubli
Dans mes rêves incongrus
Ta lumière m’englue
Pour toi je suis nu
Ô ma toile ingénue