A celles auxquelles on a pensé, parfois
A celles qui retiennent nos pensées, souvent
A celles qu’un rien nous fait aimer, toujours
A moi qui bois à la santé des morts, parfois
A moi qui aime sans aimer, je perds, souvent
A moi qui erre dans la vie, l’amour, toujours
Au pronom féminin ou masculin, au « je »
Au bout du tunnel on sait que tout n’est que jeu
A l’adverbe catégorique et subjectif
A l’inconscient et soumis, je dis « adjectif »
Au nom de moi-même j’écris « basta »
A Gaïa, à elle seule, je dis « je t’aime »