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Ce médesain
par Epervier


Je soigne ma vie, la vie des autres. Le stéthoscope me dirige à la profondeur de l’âme. Le corps, cet univers imperceptible, la splendeur. Instant suprême, des nuages impersonnels. Je suis archiatre, l’autre monde passé Piétinant l’incertitude des maladies sournoises Entre deux vertèbres, sournoisement. Le plaisir de chatouiller un cœur blessé. Je guéris l’amertume, brise innocente. Sainement l’application d’une main oscillante. J’expérimente la mort pour vivre l’existence Au-delà d’une ordonnance éternelle. André, épervier



Poème posté le 05/11/12


 Poète
Epervier



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