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Le Trépassé
par Epervier


Un corps nu surnage, yeux vitreux. Les bras en croix, ciel impassible. Des oiseaux piaillent lugubrement. Un ciel silencieux, mutisme opiniâtre. L’impassibilité d’avancer, l’horreur. Vent disgracieux, pluie acariâtre. Peau livide, pâleur morbide. La faim d’une fin tant souhaitée. Nuit terminée, le bassin en témoigne. André, épervier



Poème posté le 06/06/13


 Poète
Epervier



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