La plage lointaine
par Ottomar
Sur la plage déserte
Assise à contempler la mer émeraude.
Mes pensées vagabondes
Vont te rejoindre.
La caresse légère du vent,
Les senteurs mêlées du sable et de la mer,
Ton corps cuivré adoucie d’huiles aux parfums subtils
Le goût salé de ta peau.
La douce lumière d’une journée,
Irisée et magique décline
Et, sur le cocotier, le crabe immobile
Reste accroché telle une sculpture d’ébène.
Poème posté le 01/08/14