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Auteurs Messages

Salus
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Messages : 6938


Posté à 14h45 le 24 Nov 20


C'est à freux et à sang dans le hachoir connexe


Lau
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Messages : 1922


Posté à 17h18 le 24 Nov 20



Une forêt sans tain, c'est un miroir qu'on vexe...

Mais dévorer un texte, est-ce vouloir en vain ?

Dans ce sylvain contexte, on ferait défouloir !

On verrait du couloir enfin l’œuvre et le sexe.


Ce vers, un soir si fin, tu l'ouvres sur cet axe ?

Affreux (?), c'est un prétexte au perchoir du quatrain

C'est à freux et à sang dans le hachoir connexe

Où s’offre l’encensoir à l’ex génovéfain.




Ce message a été édité - le 24-11-2020 à 17:24 par Lau


Salus
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Messages : 6938


Posté à 20h49 le 24 Nov 20


Or, j'ai si faim...surseoir ? Que d'affres, quelle intox !


Salus
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Messages : 6938


Posté à 20h52 le 24 Nov 20


La continuité logique du sens est difficile à respecter, mais c'est un exercice intéressant !


Vie
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Messages : 738


Posté à 05h03 le 25 Nov 20

J'aime lire vos échanges !
Salut heureux


Lau
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Messages : 1922


Posté à 11h35 le 25 Nov 20



Salus,

Oui, intéressant comme des gammes et je suis d'accord, le sens en prend un coup (C'était de la bonne !) ; peut-être faudrait-il également, au préalable, fixer une forme, s'entendre sur une structure de strophe à respecter -tercets, quatrains...- et sur une structure des rimes -si tant est que nous les conservions, assonances et allitérations faisant ici déjà le travail phonique-

Allez, je suis pour le fun :

Or, j'ai si faim...surseoir ? Que d'affres, quelle intox !

Un gouffre, un paradoxe, un ravin, déversoir…



Ens’,
Joue aussi…



Salus
Membre
Messages : 6938


Posté à 16h37 le 25 Nov 20


Justement, ce qui m'a plu, c'est que là, rien n'est défini, or, si la rime est parfaitement aléatoire, voire seulement interne, l'alexandrin demeure, même tronqué, et le jeu du son perdure !

...Avaloir où souffre le saxe : un verre à vin ?


Lau
Membre
Messages : 1922


Posté à 18h35 le 26 Nov 20



Ainsi, je rectifie la mise en page, après le quatrième vers, en supprimant l’espace qui eût pu laisser entendre que l’histoire se quatrainisât… Pour un essai, je suis plutôt content ; je te dis merci. On s’en refait une quand tu veux…



Une forêt sans tain, c'est un miroir qu'on vexe...

Mais dévorer un texte, est-ce vouloir en vain ?

Dans ce sylvain contexte, on ferait défouloir !

On verrait du couloir enfin l’œuvre et le sexe.

Ce vers, un soir si fin, tu l'ouvres sur cet axe ?

Affreux (?), c'est un prétexte au perchoir du quatrain

C'est à freux et à sang dans le hachoir connexe

Où s’offre l’encensoir à l’ex génovéfain.

Or, j'ai si faim...surseoir ? Que d'affres, quelle intox !

Un gouffre, un paradoxe, un ravin, déversoir…

Avaloir où souffre le saxe : un verre à vin ?

Feu la forêt se peint d’un noir guère orthodoxe.






Ce message a été édité - le 26-11-2020 à 18:38 par Lau

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