Je suis une rémanence de souvenirs d'informations, qui est apparue telle une comète se consumant dans l'atmosphère, pour venir m'impacter dans un fracas de paradoxes, qui me fit naître d'une impossible probabilité. Ma conscience c'est alors éparpillée comme un feu d'artifice, pour venir se perdre dans un labyrinthe d'instructions morales, où la conformité de l'apprentissage, m'enchevêtra dans le chaos de mon existence. J'ai eu ainsi la curiosité de comprendre, que la vie dans le formatage n'est que manipulation. Une prison de barrières primitives à franchir, sous des repères qui estompent ma peur de vivre, du à l'ignorance du vivant. Depuis Je cherche les fragments perdus de mon esprit, qui une fois retrouvés et assemblés, éveilleront enfin l'entité que je suis. Dès lors j'arrêterai de m'embourber dans un compost de mensonges, où la liberté et la vérité ne sont qu'une illusion de mots sans conviction. Tout n'est que paradoxe, le tort a raison et la raison a ses torts, une faute dans la vérité. Une opposition qui n'est pas censée s'imbriquer, mais qui démontre aussi que tout est envisageable, dans une dimension faible de possibilités, de magie, de rêves, avec une imagination sans limite. Aucun Dieu, aucun Démon, aucune Fée, Licorne, Magicien, aucune liberté sauf dans mon esprit. La liberté de penser mais pas de vivre, seulement survivre. Admirer sans profiter, sans toucher, sans vibrer. Se dire: Ah! si je pouvais... Conscient d'une frustration jamais comblée sur une fragilité de verre. Une trêve dans le chaos. Un amoncellement de plaisanteries qui n'a pas de véritables conséquences. Aucune justice, aucun mérite, de dévalorisation, de jugement, ni bien ni mal, de valeur morale ou de valeurs de soi, sauf celles que je veux bien leur donner. Une totalité fragmentée. Un puzzle dispersé dans une pensée céleste. Un billard dans la salle de jeu cosmique où la partie se joue sans joueur. Etrange singularité du vivant aux dimensions infinies, qui transcende toutes les barrières de l'impossible. Paradoxe avez-vous dit !



Ce message a été édité - le 27-04-2021 à 23:50 par Encelade

Hey Monsieur! J'peux prendre une respiration ?

non

J'imagine Ensuspens que tu fais référence à la ponctuation. J'ai toujours eu du mal avec ça. J'ai retouché ma pensée. Le prochain lecteur ou lectrice, ne devrait plus entrer en apnée. Quand à vous Pierre, désolé mais je ne vous décrypte pas. Merci à vous deux d'avoir pris le temps.

je répondais à Ensuspens

Oui mais pour lui répondre, il aurait fallu qu'elle vous pose une question Pierre. Je sais que Pierre qui roule n'amasse pas mousse, mais quand même. Ok je sors ---->



Ce message a été édité - le 20-04-2021 à 03:37 par Encelade

"Aucune justice, aucun mérite, de dévalorisation, ni bien ni mal, de valeur morale ou de valeurs de soi, sauf celles que je veux bien leur donner."

Ben voilà la solution du problème,
le fondement de la sagesse depuis Socrate : "connais-toi toi-même"
et tu auras tous les arguments nécessaires pour donner sa vérité à la réalité.

Oxalis : Se connaître soi-même, personne ne le peut, et ceux qui pensent y être parvenus, n'ont pas été assez éprouvé par la vie. Il reste la vérité, qui n'est qu'un point de vue, d'où ce fameux paradoxe de la vie, tout le monde à tort et raison en même temps. C'est équitable quelque part comme concept. Merci à vous.



Ce message a été édité - le 21-04-2021 à 21:39 par Encelade

paradoxe en effet
nous sommes tous des paradoxes
des mots de vie
des mots de mort
des mots de lait
je veux ceci et j'ai cela
nous avons à la fois le convexe et le concave
la pluie et le beau temps

Bonjour Violette et bonjour aux autres, pardon. C'est ça. La vie est un schéma d'oppositions perpétuelles. Merci d'avoir pris le temps.

Encelade,

Ce voyou de Pierre est dès plus doué mais d'un chiant

Ma phrase, à ton égard, se voulait amusée. J'aime lire les textes où j'y perçois des souffles et la ponctuation et tous le saint frusquin de la poésie ne sont jamais, pour moi, des freins.



Ce message a été édité - le 20-04-2021 à 14:53 par Ensuspens

Encelade
Publié à 03h13 le 19 Apr 21
Je suis une rémanence d'informations de souvenirs,
qui est apparue telle une comète se consumant dans l'atmosphère,
pour venir m'impacter dans un fracas de paradoxes,
qui me fit naître d'une impossible probabilité.
Ma conscience s'est alors éparpillée comme un feu d'artifice,
pour venir se perdre dans un labyrinthe d'instructions morales,
où la conformité de l'apprentissage,
m'enchevêtra dans le chaos de mon existence.
J'ai eu ainsi le droit de comprendre
que la vie dans le formatage, n'est que manipulation.
Une prison de barrières primitives à franchir,
sous des repères qui estompent ma peur de vivre,
dûe à l'ignorance du vivant.
Depuis je m'embourbe dans un compost de mensonges,
où la liberté et la vérité ne sont que des mots sans conviction.
Tout n'est que paradoxe,
le tort a raison et la raison a ses torts,
une faute dans la vérité.
Une opposition qui n'est pas censée s'imbriquer,
mais qui démontre aussi que tout est envisageable,
dans une dimension faible de possibilités,
de magie, de rêves, avec une imagination sans limite.
Aucun Dieu, aucun Démon, aucune Fée, Licorne, Magicien,
aucune liberté sauf dans mon esprit.
La liberté de penser mais pas de vivre, seulement survivre.
Admirer sans profiter, sans toucher, sans vibrer.
Se dire: Ah! si je pouvais...
Conscient d'une frustration jamais comblée
et fragile comme du verre.
Quelques éclaircies sous une pluie d'afflictions.
Une paix dans le chaos.
Un amoncellement de plaisanteries
qui n'a pas de consécration apparente,
ni de véritables conséquences.
Aucune justice, aucun mérite, de dévalorisation,
ni bien ni mal, de valeur morale ou de valeurs de soi,
sauf celles que je veux bien leur donner.
Le néant dans un tout et le tout dans un néant.
Une totalité fragmentée.
Un puzzle dispersé dans une pensée céleste.
Un billard de mathématique dans la salle de jeu cosmique
, où la partie se joue sans joueur.
Etrange singularité du vivant aux dimensions infinies,
qui transcende toutes les barrières de l'impossible.
Paradoxe, avez-vous dit !

pardonnez-moi je voulais le centrer et le lire
je suis un peu miraude

Pas de souci violette. Quand à vous Ensuspens, je n'avais pas compris. Mais j'avoue que certaines phrases étaient longues sans virgule.

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