Ecoutons lors, serons moins mabouls,
A l’opposé de la frénésie
Du marketing, fuyant l’acousie,
Allan Stivell, via d’autres ribouls.

...La harpe celte alors est saisie
Et dans la nuit montent des sons saouls
Qui font penser aux chanteurs tamouls
Comme au mak yong de la Malaisie.

J'ai l'ouie très sensible, l'oreille absoulue, comme tu dis Lau pour ne pas devenir maboule avec les pervers narcissiques, je mets dehors de mon domaine d'araignée avec mes pattes de harpe les indésirables! qu'ils s'occupent de leurs fesses!

Lou,

Ah.


Salus,

Du Finistère aux arts de l’Asie,
L’ivresse ici ne vient des refouls
Mais des douceurs des meilleurs picpouls,
Glissant au corps de la poésie.

Des crus gardés par bien des pitbulls !
Mais nous boirons au sang du Messie
Jusqu'au coma, jusqu'à l'amnésie !
(Si c'est l'hiver, 'faut mettre deux pulls)*

*le coma, c'est meilleur au chaud.

Le sang du Christ (et de Count Basie) ;
Pour l’occiput, deux chauds karaculs,
Les chiens méchants, au fond des acculs,
Echappons à l’ire, à la grazzie.

Sans péter, là, plus haut que son cul,
Surtout, fuyons la folle aphasie !
Elle qui tout le cerveau razzie
Quand l'alcool fausse un simple calcul.

Sans vouloir être alchimiste goule,
Je mets le ‘s’ au bout de l’« assis » :
Un petit break ? Tiens, quelques lassis,
Juste une pause... Un ver de bancoule ?






Ce message a été édité - le 30-09-2022 à 14:56 par Lau

Ton second vers, où le "s" est sis,
M'échappe (ne te mets pas en boule)
- Quand à tes vieux vers, beurk ! - va fancoule !
(...Arrêtons-nous, avant les lazzis !)



Ce message a été édité - le 01-10-2022 à 21:04 par Salus

"Pulls", "karaKuls", amputés, je vis
De leur 's', vrai, j'eus un peu la trouille
D'avoir omis dans d'inepte gouille
Un or visuel magique, une vis.



(boule)



Ce message a été édité - le 01-10-2022 à 20:32 par Lau

Bah, nous glissons comme la grenouille,
De sens en sons, et bien mieux qu'Elvis ;
Ne t'en fais donc pas pour l'esse, fils !
(Tant que nul mot écrit ne bredouille)

- Oui, boule, merci.



Ce message a été édité - le 01-10-2022 à 21:04 par Salus

C'est qu'on devient très vite une andouille
A baguenauder près de Memphis,
Quand, dur, le roc suscite un avis
Sur la vie et que, bête, on bafouille...

C'était un roi (sans la fleur de lys)
Plein de pognon, car roi-star, ça douille !
...Et plein d'un vide où le cerveau touille
Le néant vorace du showbiz.

Braise
à Tas Haut

Yô Alain ; Ken à Voh.


Salus,

Toute légende, un beau jour, se rouille :
D’honolulu, cet autre king, Iz,
Revisita le Magicien d’Oz
Puis disparut ce coquefredouille.




Ce message a été édité - le 04-10-2022 à 15:38 par Lau