JE VOULAIS FAIRE LA FIESTA

Je voulais faire la fiesta
Et patati et patata
Me suis rendu sans un iota
Pour une nuit à Bogota

Je voulais faire la fiesta
Comme un grand persona grata
Au bras d’une señorita
Et vivre la dolcé vita

Je voulais faire la fiesta
Et manger un chipolata
Boire un grand café Robusta
Avec elle près du delta

Je voulais faire la fiesta
Lui jouer une toccata
Et déguster une pita
En racontant quelque noukta

Je voulais faire la fiesta
Faire avec elle un canasta
Je n’avais pas de célesta
Ni même un brin de népata

Je voulais faire la fiesta
Mais j’ai chopé la turista
Toute une nuit je suis resta
A l’hôpital de Bogota

Toute une nuit je suis rasta !!!

Macha,
C’est pour la rime… comme Renaud (un jour je m’en ira…)
J’y avais pensé mais le rasta c’est à la Jamaïque.

Le nougat et le mokka effectivement ce n'est pas la même chose !!

Ca m'a fait marrer, ta rime !

- Mais ta chanson, là, m'épata ;
Des rimes "persona grata"
(Donnant un sens à ce rata)
Pour en trouver, taratata !

Joueur de canasta,
Mon tonton s'éclata.
Voici qui m'épata !
Qu'en pensa ma tata ?

Merci à vous tous.
A noter, pour que la chanson soit un peu plus compliquée, je n’ai utilisé qu’un seul verbe au passé simple !

Tu voulais faire la fiesta
Faire du gringue et la nouba
Puis chalouper du Cha-Cha-Cha
Et patati... Mais patatras!
Un tour de rein se déclara
Et te voici dans de beaux draps
Souples, soyeux, vice-versa...




Ce message a été édité - le 29-03-2023 à 20:41 par Mahea

Merci Mahea

Je voulais faire la fiesta
Au pied du fort de Jakarta
Ou dans le slum de Calcutta
Qu’importe quand la lune est là
Nous aurions dansé la jota

Je voulais faire la fiesta
Et t’emmener dans mon état
Pour vivre une Reconquista
Qu’importe quand la lune est là
Je t’offrirai une fiesta

Tu n’as pas eu la barraca
Ce fut un flop, une cata
Aïe aïe aïe c’est trop loin la-bas
Reviens danser à Carpentras !

Je reviendrai Marcekouna
Et nous irons au Bostwana
Pour déguster un seswaa
Et un bol de maïzena

Le seswaa est le plat national du Botswana, à base de viande de chèvre, de bœuf, de poulet ou d’agneau. Il est cuit à feu doux et lent jusqu’à tendreté, accompagné d’oignon et de poivre. Tout autre ajout à la recette est mal vu par les habitants !
Le plat est généralement servi avec de la bouillie de pap (farine de maïs), de la polenta ou du sorgho. Il est cuit dans des casseroles à trois pattes sur un feu ouvert, nécessitant beaucoup de muscle pour tout le martèlement une fois la viande cuite !