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LES COMMENTAIRES RECUS:


Ann [16/04/18 14:16]
Une petite pause dans l'écriture de la suite. Je suis en plein dilemme avec le devenir de Mémé... La vie est un cadeau, un témoin qu'on passe à la génération suivante.
dans mon histoire qui est en fait la trame d'un conte plus long que j'ai dans la tête, je m'amuse avec Mémé dont les modèles sont à la fois mon portrait et celui de ma grand-mère, la tendresse pour elle, le mauvais caractère pour moi. Bon, j'y retourne et à ce soir.


Oxalys [16/04/18 13:45]
On lit avec bonheur les épisodes de ce feuilleton -puis on ferme les yeux bien fort, et surgissent du fond de la mémoire des bribes de souvenirs tout semblable. Alors roule une petite larme sur la joue et l'on referme le livre en remerciant parents et grands-parents pour ce magnifique cadeau qu'est la vie. même s'il faut la rendre un jour....


Ann [16/04/18 08:25]
J'y songe Aurorefloreale d'éditer quelques courts livrets concernant les nouvelles que j'ai esquissées.


Aurorefloreale [15/04/18 19:41]
comme tu sais si bien conter la vie pourtant journalière vécue à la campagne , c'est une merveille avec tous mes souvenirs qui remontent à la surface, ce lait bu dès que les vaches de la voisine étaient traites , ce goût incomparable!

Ce récit sans exagérer , me fait penser à la véracité des souvenirs de Marcel Pagnol, tu devrais écrire des livres sur la campagne telle qu'elle était avant , tu le fais à merveille!!! BRAVO et encore BRAVO!!!

Je te suis vraiment reconnaissante, tu écris vrai!!!


Ann [15/04/18 18:59]
On n'est pas des vaches mais leur lait est vachement meilleur que celui de la femme. Mauvais pour notre santé, je ne sais pas mais je ne saurais pas m'en passer, même si je dois me contenter des briques de lait entier qui en sont une pâle copie écrémée.

Le lait choisit toujours de monter quand on a le dos tourné et pourtant il retombe dès qu'on soulève la casserole, un peu comme les gens qui montent sur leurs grands chevaux sans garder rancune.
Les laitages en Normandie, ce n'est pas de la nourriture, c'est un concept que je me suis emportée dans les Landes, un pays du sud qui ne goûte pas au lait, même si nous avons quelques éleveurs de prim'holstein fiers de leur métier.
Isabelle, je t'invite à ma table ce soir donc.


Lili [15/04/18 18:25]
Que de souvenirs.
Gamin avec mon petit pot j'allais voir la fermière et le remplissais de ce nectar tout frais tout chaud. Parfois il m'arrivait d'en boire au pis une giclée. Quel régal!
Depuis je n'ai jamais compris cette expression, être soupe au lait...
La saveur de ce breuvage m'enivre encore à son odeur même si je sais aujourd'hui qu'il est mauvais pour notre santé. On est pas des vaches tout de même...!


Isabelle Chevalier [15/04/18 15:57]
J'ai été captivée et j'ai beaucoup aimé.
Dommage que je ne puisse goûter cette soupe au lait.