Vous devez ĂȘtre INSCRIT et CONNECTE pour laisser un commentaire
LES COMMENTAIRES RECUS:
Lasource [12/09/18 18:39] L’autruche pond en mai . Quelqu’un attend de moi l’omelette de Mai… C’est assez étonnant, ma foi, quand on y pense ! Peut-être y faudrait-il des œufs de caille, mais Je n’en ai point trouvé malgré mon insistance ; . Parmi tous les marchés que, du coup, j’écrémai, J’ai trouvé de gros œufs qui semblaient, d’évidence, avoir, par un oiseau géant comme jamais, été pondus, ma foi, non sans quelque indécence ! . Lors, en cassant leur coque en un large faitout, je songeais à l’énorme orifice obscur, d’où ces massifs « oeufelets » étaient venus au monde... . Et je restais pensif, tentant d’imaginer De quel cul monstrueux pouvait bien être né L’oeuf que nous surnommons notre « machine ronde ». |
Lasource [12/09/18 18:02] jE VAIS TENTER CETTE HOME LETTE : |
Lili [09/09/18 21:47] Superbe odelette d'octobre J'attends l'omelette de mai..rire |
Ombrefeuille [08/09/18 17:52] Et si l'été Qui s'est fané N'était qu'un rêve Où, loin, s'achève Le frêle cours De ces amours Que l'on oublie Quand vient la pluie ?... La douceur de cette "Odelette" (j'aime bien le nom, tout de grâce) me fait songer à une chanson de Francis Cabrel : "Hors saison" (du CD "Hors saison"). Bravo pour cette écriture tout en finesse |
Lasource [08/09/18 14:49] Moi j'ai grand plaisir à l'illustration que je découvre aujourd'hui! J'aime cette tache bleue et ce plaisir du bord de mer ! Un grand merci... |
Machajol [08/09/18 14:01] Quel plaisir de lecture cette "Odelette d'octobre"; merci Lasource, trop rarissime ! |
Ancienmembre [08/09/18 10:45] ... à LaSource et Saintes! D'où que tu sois… Comme un rayon de soleil soulignant les courbes éveillées d'un automne à paraître, le chat s'étire et ronronne languissant de caresses asservies aux soyeux de son poil. Encore allongé de tout son long, à même le sol, le félin profite de ma pause sauvage à magnifier dans une hauteur vertigineuse l'instant moucheté d'un nuage mobile. Une vague étourdissante ondule, dessine, et s'impose en arabesques palpitantes de vies, de chants aux bruissements d'une vélocité assourdissante à vriller libre. Juste là, à la source, écarquiller nos yeux, nos sens et simplement savourer. Merci Messieurs de vos partages! Ha vi! je précise écriture spontanée (funambule au nez rouge si vous préférez) donc doublement merci Messieurs, bises. |
Ancienmembre [08/09/18 09:08] Comme un rayon de soleil soulignant les courbes éveillées d'un automne à paraître... +1 |
Saintes [08/09/18 06:35] Paris n'est donc point la ville lumière ? Une odelette qui me fait réagir car j'aime les nuances du gris ! |
Ancienmembre [07/09/18 20:41] il n'y a aucune comparaison à faire ton odelette a suscité des visions différentes inhérentes à leur auteur ce n'est pas pour la déprécier, au contraire |
CinquiemeVallee [07/09/18 19:23] Cette Odelette d'octobre si agréable lire semble avoir été écrite avec un réel plaisir, et gentiment mise à notre portée, alors nous en profitons: Merci! |
Lasource [07/09/18 17:52] Les poèmes que mon odelette a semble-t-il amenés à paraître ici, sont très supérieurs à elle ! Moi je n'ai écrit qu'un amusement. Les deux poèmes de Violette et de 5ème_Vallée sont très sérieux et touchants, eux... Leur présence m'honore. Merci. |
CinquiemeVallee [07/09/18 17:26] Encore merci Lasource ! |
Ancienmembre [07/09/18 17:10] wouah alain les roses suspendues que c'est beau ! |
CinquiemeVallee [07/09/18 17:01] Je ne veux pas l'entendre Dure à l'oreille tendre Ouverte aux gazouillis Je ne veux pas l'entendre La rumeur de Paris Ôtez cette couleur Qui tant cerne mon cœur En ses éphémérides Ôtez cette couleur Morbide comme rides Des roses suspendues Aux amours éperdues Je m'abonne sans fin Au rêve du parfum Des roses suspendues Je préfère défendre Une cause perdue Celle des gazouillis Plutôt que de l'entendre La rumeur de Paris ! |
Ancienmembre [07/09/18 15:01] Nous n’aurons nul automne à vivre La feuille est rude et asséchée D’un seul coup tombera l’averse Et le froid qui va tout geler Adieu les roux les bruns les jaunes Nous irons direct au grisâtre Adieu les bouquets ruisselants Nous n’irons plus au bois charmant Mais que l’été fût gai ou triste Le printemps horrible ou fleuri L’hiver de nos corps est unique C’est un vieux tronc creux comme un puits Alors des saisons de la vie Nous n’aimons que celle de l’autre Celle que jamais ne vécus Ni ne verrai dessous la tombe Resteront nos feuilles de vie Nos arbres lourds de poésies Fleuris d’images inouïes Qui ne se faneront jamais Aussi écrivons dans l’écorce Au burin de l’arbre debout Des traces indélébiles et fortes Juste pour avoir vécu A l’ombre de nos amours mortes. |