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Oxalys [10/08/15 10:00] Bonjour Mady Réponse tardive, comme tu vois, je fais ma paresseuse, aussi bien côté poèmes que côté boîte aux e-lettres... Il a plu cette nuit, mais si peu que tout a aussitôt été absorbé - Fraîcheur à peine marquée - c'est reparti pour la canicule. Honneur à Saint Laurent qui a fini sur le grill, comme nous en ce moment - et dont les larmes sillonnenent notre ciel estival sous forme d'étoiles filantes - Je t'embrasse Oxalys

Oxalys [04/08/15 22:48] Bonsoir Arcane Bonsoir Louis, aujourd'hui, volte-face tant attendu ! le ciel nous a enfin entendus et gratifiés d'une rasade de pluie bienfaisante. Mais ce n'est qu'un court intermède, paraît-il. Profitons de la fraîcheur avant la prochaine canicule. Amicalement Oxalys

Madykissine [04/08/15 10:50] Bonjour Catherine, il pleut ce matin dans le village presque désert. Tu en veux un peu ? Je souffle Sourires Je t'embrasse fort Mady

Oxalys [03/08/15 23:30] Bonsoir Lo Merci pour ce commentaire poétisé. La lecture m'a laissée sonnée. Amicalement Oxalys

Oxalys [03/08/15 23:22] Bonsoir Antoine, Les récoltes de fruits seront maigres cette année. On se demande même s'il sera nécessaire de mettre en route pressoir et alambic. Il risque de faire soif dans les chaumières cet hiver. Après l'été trop sec, l'hiver trop sobre, quelle poisse ! Clin d'oeil amical Oxalys

Arcane [03/08/15 18:36] Des mots justes et bien sentis pour un spectacle dont nous sommes marris ! Merci Amarante ! Même déveine et même constat ! Dieu que la Nature est ingrate Cependant nous ne sommes pas Responsables de la décrépitude scélérate !

Louis [03/08/15 17:51] on sent qu'il va faire encore plus chaud les feuilles se craquèlent, les fruits tombent et même la truite est mal en point

Ancienmembre [03/08/15 15:40] La lecture m'a asséché ; c'est que ça fonctionne... Presque apocalyptique. Quoi qu'il en soit, le style est au service de l'idée et de l'émotion qu'elle suscite. Bon moment... En écho : La rivière aujourd’hui joue d’indignes silences, Les rus pissent, crachotent sans vraie conviction Une eau fadasse, lente, au goût de consomption, L’écume épaisse chuinte en mornes désinences. Sur le flanc, les poissons crèvent dans des carences D’air, de débit, de vie, d’eau, d’accélérations Quand les joncs se ploient longs sans autres rédemptions Que d’avoir bu les crues, gourmands et sans patience. La saignée sourde souffre, esquisse une entrée prude Au cœur du soir la source émet un jet sifflant, Soufflant, sautant au cou du funeste interlude, Abondamment les berges, les pierres, giflant. Les points rouges et noirs d’une truite respirent L’eau, l’air, la vie, l’envie que mes tempes expirent.

Tonindulot [03/08/15 14:42] Bonjour Catherine Un sort météorologique qui nous lie...Je fais le même constat... Et pourtant j'arrose pour ne pas laisser périr... On en est rendu à espérer l'orage sans rage mais avec eau... Bien à toi Tonin