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LES COMMENTAIRES RECUS:


Polymnie2 [08/10/15 03:01]
Merci à toi Louis pour ce partage étroit.
J'imagine la rêverie que te donne mes mots puisque tu as l'heureuse joie de vivre à côté de ces beautés multipliées.

Merci encore et mes amitiés,
Polymnie 2, ce 8 octobre 2015


Louis Vibauver [08/10/15 00:05]
Merci Polymnie pour ce joli texte auquel je suis d'autant plus sensible que j'ai la chance de dominer toute la baie de Marseille et d'assister bien souvent à ces couchers de soleil dont on ne se lasse point.
Les clairs de lune sur la mer sont aussi resplendissant.
Cordialement
G


Polymnie2 [05/10/15 23:50]
Merci Pieds-en-Vers pour ton profond commentaire : je reconnais humblement que j'étais en communion pour traduire la beauté que mes yeux ont extrapolée.

Merci surtout à toi de nous l'avoir proposé.
Amitiés, Polymnie2, ce 5 octobre 2015.


Pieds-enVERS [05/10/15 23:43]
Bonsoir Polymnie !

je suis flattée de voir tes mots s'accrocher sur ce coucher de soleil avec une telle intensité ! on sent la plénitude et la communion dans ce silence observateur

merci ( cette photo est différente de celle que j'ai mise sur la galerie , cela permet d'avoir une déclinaison de tons , mais c'était le même soir )


Polymnie2 [03/10/15 06:26]
Raymond, je n'ai pu compléter mon explication hier au soir car j'ai eu deux appels téléphoniques et que je ne voulais pas que mon message soit coupé ici.
J'ai suivi l'œuvre donc au fil du regard, et devant l'or, le cuivre, l'orange et le rouge sang jaillir et déborder à recouvrir la mer, j'ai eu tous les sentiments qui se sont dressés en moi et ma sensibilité à fleur de peau s'est exprimée avec des mots sans recherche pour ne pas aller haut delà du sujet à traiter.
Ce ciel offrant toute sa beauté à la mer sans aucune restriction se perdant lui-même dans ses flots!
mon âme,"l'Eponge absorbante" comme
je'appelle, a tout reçu, c'est-à-dire
l'amour de soi(e) dans sa plus grande envergure, et personnellement je sais de quoi je parle crois moi!
Donc,le ciel sur la terre était la seule Icône à réveiller.
Il y a des images que l'on ne peut décrire sur l'infinité de choses et qui ne peuvent être communiquer qu'en certaines occasion pour ne pas amoindrir leur Grandeur en les sortant de leur Splendeur.
C'est Cette forme de béatitude qui est à lire entre les lignes pour en découvrir la profondeur.
J'espère que ce message t'éclairera sur le sombre que tu n'as pas saisi.
Bise,
Et bonne journée à toi,
Polymnie2, ce 3 octobre 2015.


Polymnie2 [02/10/15 21:56]
Raymond, merci,
Regarde sur l'accueil la reproduction du couchant de Pieds-en Vers, c'est cela que j'ai décrit, ce tableau est encore affiché, hélas pieds en vers n'est pas là pour le mettre sur mon poème.

Bise je continuerai après.
Polymnie2, ce 2 Octobre 2015.


Raymond [02/10/15 18:44]
Bonsoir Polymnie2
Pas tout compris dans ce magnifique texte finement ciselé.
Je vote pour la beauté de la rhétorique dont tu portes si bien la muse!

Bien à toi bises
Raymond


Polymnie2 [02/10/15 15:49]
Merci pour l'âme généreuse qui m'a offert ce vote.

Polymnie2, ce 2 octobre 2015.


Polymnie2 [01/10/15 19:40]
C'est une merveille hélas actuelle.
Je pensais dès le début, il nous faudrait une messe à chacun, dans chaque église, à la même date et heure, dans toute l'Europe, pour remuer les cœurs et voir les armes baissées devant les âmes levées.
Je crois au père Noël, non, je crois à l'Esprit du Père tout simplement.
Polymnie2


Sylvie [01/10/15 19:32]
très très très modestement en partage (dont ton poème me donne la note manquante)

Tombée de la nuit

Les sentiers des douaniers sont déjà rougeoyants
embrasant le banc des derniers balbutiements
La lumière décline, l’œuvre est sculpturale,
Sur l’océan se dessine une cathédrale.

Murmure itinérant sur un silence ému
L’insaisissable instant s’habille d’Absolu
Simplicité, vérité et dépouillement
D’un dernier face à face avec le firmament

Un dôme entre ciel et terre soudain se crée
Menant le jour vers sa sublime destinée
Là haut dans le lointain, le ciel devient gracieux
La musique des orgues monte vers les cieux


La brèche est pourtant là, béante, sanguinaire,
La cathédrale deviendra un sanctuaire,
Face au grand Albatros, s’incline la lumière…

Avant que ne meure, loin de toute splendeur,
le dernier cri silencieux de l’Amant en pleurs…

Sylvie



Polymnie2 [01/10/15 19:04]
Merci infiniment Sylvie,
Dommage que Pieds-en-vers ne soit pas là pour le couronner de son chef d'œuvre!

Amitié, Polymnie2, ce 1er octobre 2015.


Sylvie [01/10/15 19:00]
magnifique....vraiment !


Polymnie2 [01/10/15 18:57]
Merci à toi Mady, je n'ai pas pris le temps de l'étudier, il est sorti comme il est né.

Amitié sincère, Polymnie2,
ce 1er octobre 2015


Madykissine [01/10/15 18:54]
Quelle splendeur ! Merci Polymnie

Amitié
Mady