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LES COMMENTAIRES RECUS:


Ancienmembre [19/02/15 16:22]
Bien sûr Nicole !

C'est ainsi la magie qui opère entre émotion et écriture...même la tristesse la procure...
le poète ou apprenti s'aperçoit dans le non dit d'autrui quand la poésie de cet "autre" l'interpelle...on rirait de cette hypersensibilité, mais vive la poésie qui fait d'un deuil une fête étrange pour elle-même...c'est quand-même mieux qu'un "jardin égoïste" !
Sourire
Amicalement
Alain



Alby [19/02/15 16:06]
Ce n'est plus un commentaire, Alain, c'est tout un poème, dont la sensibilité me va droit au cœur. Il est tellement dans le "ton" et le sens de ce que j'ai écrit ! Me permettez-vous de le copier-coller ? Merci et bien amicalement,
Nicole


Ancienmembre [19/02/15 15:22]
Il y a le non dit
Qu'un seul poème crie

Il y a l'indicible
Au désert du sensible
Qu'un seul poème cible

Il y a le lecteur
Qui pleure en vain sa fille
Il y a une ville
Aux volets égoïstes

Mais la fontaine cille

Elle verse un ténu
Souvenir mes yeux brillent
Et mon cœur fort ému
Chienne en chaleur vacille

S'Effondre le ciel triste...

ainsi votre poème fort me fait réagir !

Amicalement
Alain



boétiane [10/04/07 23:45]
j'aime ce coup de zoom urbain
plongeant soudain
-non sans bouleverser-
"dans le poumon bleu du vide"