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LES COMMENTAIRES RECUS:
Ancienmembre [25/08/18 14:16] J'ai honte de mes dénis… Quelquefois! Mais que veux tu je me suis construite comme j'ai pu dans mon bocal ;-) rire! En tout cas j'avoue que les muses se sont biens jouées de nous et ça j'adore! |
Leonard [09/02/17 16:59] Mais souviens-toi œil qui pair se retire De revenir Rafraîchir mon désert Au soleil noir |
Mahea [27/12/16 16:35] Vous nous manquez... |
Gkak [26/01/16 14:24] Mur aux lézardes bleues Miroir tendu à bout de bras Arbres féériques Ecorce noire, Cinémas de tropiques crucifiés Bêtes pudibondes Embrassements de lèpres grondement d'orge sur musique andalouse Nu au chapeau de guingois, âme nocturne. |
Ancienmembre [26/01/16 00:21] ...à quatre mains Lui dit: "Longer les landes grises Voir les évêchés en papier asiatique Murmurer les pluies du Levant Etre le claque à gueule de licorne Jouer à l'écuyer d'osier Paître les quartiers insomniaques tu vois, ce n'est pas si difficile ... en cas d'insomnie !" Elle affirme: Prends ma main et vole moi à cette mer de paresse littéraire J’envenime tant l’ennui des mots brossés en longe demi-ficelée Berce moi encore ! De tes feux de paille qui chuchotent aux oreilles l’envie. Je ne sais que trop peu jouer aux failles… Langer les rais surpris Vouer le rêche en soie atomique Chevaucher le vent d’antan Paraître sèche en cale noyée Mourir à naître rosée Spolier les étoiles supplantées Dodo l’enfant DO ! Les mains pleines de rêves en escaliers suspendus Je ferme les yeux ! Dodo l’enfant dormira bientôt… Merci ! |
Gkak [25/01/16 23:32] Longer les landes grises Voir les évêchés en papier asiatique Murmurer les pluies du Levant Etre le claque à gueule de licorne Jouer à l'écuyer d'osier Paître les quartiers insomniaques (tu vois, ce n'est pas si difficile ... en cas d'insomnie !) |
Ancienmembre [25/01/16 22:08] Petite mort* Pousse moi donc à rêver sur le bas de tes écumes latentes, j’y déposerai peut-être quelques armes enchevêtrées, des guêtres estivales au parfum mystérieux de fleur de sel, du luxe en pâture à la surface de tes nuits hésitantes et de l’or chafouin sur le pâle de nos démons tus. Lascive, allongée sur le vague, je chasse tes creux salins, ton visage et l’ombre de tes profondeurs alanguies sur le dos. Dépossède moi de ce feu qui gronde en tourment crépusculaire... Ainsi faite je m’étire mortelle aux silences d’une lune miroir qui danse et happe en brasier funeste une même direction. Pousse moi donc à rêver… (*Expression remontant au XVIe siècle A cette époque, "la petite mort" désignait la syncope ou l'étourdissement, mais aussi et surtout les frissons nerveux.) Bien sur, Sir Gkak c'est une impro! ;) |