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LES COMMENTAIRES RECUS:


Stapula [30/01/16 12:15]
Grand merci Raymond pour ton élan du cœur qui ne m'étonne pas, ayant déjà eu l'occasion d'apprécier ton humanité.
Ce qui fera toujours partie de mes combats, c'est l'injustice et le pouvoir de disposer de la vie des malheureux, les gros sachant se planquer, au motif de patriotisme alors que derrière il y a souvent une question de gros sous, en cause la mafia capitaliste internationale engouffrée dans tous les rouages des états.
Bien à toi également mon amitié.


Raymond [30/01/16 00:27]
La plume de l'ombre, je l'ai relu trois fois, une profonde humilité, toutes vos tensions des plaies difficiles à refermer..
Amitié
Raymond



Stapula [29/01/16 14:14]
Merci Fasya. On dit toujours qu'on est mieux considéré en dehors de sa propre ville. Rien d'étonnant avec des personnes qui ont de l'humanité à revendre comme toi.
Le courage m'est venu tout naturellement quand j'ai commencé à lire et à écrire étant le seul "lettré" de la maisonnée pour tout courrier dont l'administratif.
Bisous.


Fasya [29/01/16 10:01]
Viens habiter chez nous jean-Claude. Les stationnement handicapés et les rues à sens uniques fleurissent à profusion. On te fait une petite place.

Chapeau bas pour ton courage


Stapula [29/01/16 09:41]
Merci Syzygie pour ce louable quatrain plein d'esprit et de vérité.
Même si à longueur de journée, on entend, pour un oui pour un non, entre guillemets, quand on aime la loi, mettre justice entre guillemets est, je le crois, de bon aloi.
Amitiés.


Ancienmembre [29/01/16 09:32]
heureusement la feuille blanche
attend sereine que s'épanche
le Poète dont point n'étanche
sa soif la "Justice" qui flanche


Stapula [29/01/16 00:01]
Merci Polymnie2 pour la sympathie que tu me témoignes. Un grand réconfort !
Devant faire au moins 10 000 pas par jour, je ne suis pas à plaindre quand des gens sont cloués à vie dans leur lit et quand mon père a eu une mort atroce loin des siens, l’infirmière en chef de l’hôpital de la ville de Berck-sur-Mer – où mon père a été enterré faute d’argent pour le ramener dans sa propre ville distante de 15km, l’Office départemental des anciens combattants aux abonnés absents – ayant fait les pires difficultés pour que ma mère récupère le corps de son mari défunt, au motif de : « Pas d’pognon, pas d’cadavre ! »
Si je me mets en avant aujourd’hui, c’est pour tenter modestement d’aider toutes celles et tous ceux qui, laissés pour compte par des planqués, n’ont même pas la capacité de dénoncer les injustices à défaut de pouvoir faire valoir leurs droits.
Bien cordialement.


Polymnie2 [28/01/16 23:04]
Oui Stapula, mais avant je mettrais
Pauvre France! C'est ça tes hommes!
Qui tissent les linceuls de vies avec leurs mains sales!

Merci à toi dans le partage,
Polymnie2, ce 28 janvier 2016
Je mets un vote pour ton action mais pas pour ta souffrance car, Elle, ne s'applaudit pas!