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Llumierelive [25/03/16 23:25] magnifique! du grand art...un nouveau François Villon! j'adore

Gkak [04/03/16 21:36] OK, c'est clos pour moi aussi.

Mijo [04/03/16 20:49] Il n'y a plus de matière à vautour sur le site, alors tout est OK !

Gkak [04/03/16 19:28] Oui, Mijo, les vautours sur pieds pillent volontiers les vers des grands poètes disparus, c'est comme ça ! Merci à toi d'apprécier MES vers, ce sont bien les miens tu peux en être certaine.

Muse [04/03/16 15:41] Vivement la suite de ton bestiaire sanguinaire où pas ! ;) Amitiés

Mijo [04/03/16 09:21] Ah ! les vautours ! ils sont partout, et parfois, même sur pieds ! bravo !

Banniange [03/03/16 17:29] atroce spectacle qui rappelle aussi les charniers humains mais le style y est et transcende la hideur,très réussi!

Ancienmembre [03/03/16 13:45] Bonjour Gkak, Oui excellent cette approche descriptive et analytique de ce rapace charognard. Qui tend à disparaitre parait-il, du moins, beaucoup de cette espèce. Bien sur, qu'il n'est pas avenant du tout ! Mais quand même, il a de la gueule. Et puis, on ne se rend pas compte, mais dans certain pays, il aide à la purification des terres et de l'air en débarrassant la charogne en décomposition... Un bestiaire à venir qui promet! Par ailleurs pour les illustrations, le problème est que l'on a droit qu'à deux par mois, rire ;) Merci pour ma lecture et belle journée;)

Gkak [03/03/16 12:15] Hugh ! homme rouge ! Tes compliments réchauffent, en cet hiver qui tarde à céder la place... Have a nice day !

Maninred [03/03/16 11:08] Sonnet d’excellente facture. Le vautour présenté ici comme un exutoire incontournable de la décomposition des chairs. L’âme du cadavre est indiscutablement ailleurs. Celle du poète est bien là, dans la perception de l’animal et de la séquence décrite. J’ai pensé à Villon dans la décomposition. Bravo. ( l’hémistiche du dernier vers de la seconde strophe...).

Jeannine B [02/03/16 23:12] On peut lire le poème dans le sens figuré et le sens propre en ayant une pensée pas très sympathique vers les vautours bipèdes qui sèment la terreur, tuent et violent leurs congénères et ce, sans avoir faim. Le vautour a de cela la noblesse, il se gorge de rouge sans aucune cruauté. Merci, j'ai beaucoup aimé le conteur qui est en vous !!!

Oxalys [02/03/16 22:09] Qu'il faut être épris de beauté textuelle et doté d'un talent de conteur pour écrire si bien sur un rapace aussi cruel et repoussant ! Bravo Oxalys

Ancienmembre [02/03/16 19:14] Merci Seigneur dit-on S'adressant aux éclairs Pour cette bonne chair De m'avoir fait glouton... Ah oui, j'ai dévoré Ce bon repas sonnet ! Amitiés Al1-6iJ

Gkak [02/03/16 18:11] Merci. Désolé, je ne sais pas comment on peut illustrer son poème...

Muse [02/03/16 17:57] Effrayants vautours, et portant fascinants n'est-ce pas? Super des sonnets sur les animaux !;) Amitiés

Loupy [02/03/16 17:53] une belle étude ces vautours, l'édition avec illustrations devrait être terrible oui il faudrait nous mettre déjà cette première peinture juste pour nous