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Oxalys [12/06/19 10:24] Il ne restera certes pas grand-chose, Mais ce peu tint une si grande place En son temps, que même non virtuose, Il mérite les honneurs de l’espace ! Accolade amicale d'Oxalys

Arcane [10/06/19 10:10] - Tout est dit et bien dit - Il restera ce touchant duo Pantoum , brillantissime pardi Qui mérite tous nos bravos :) et vote d'Arcane

Oxalys [08/06/19 09:46] Voilà une vision sage de notre passage que je partage sans ambage ! Merci Michel

Oxalys [08/06/19 09:42] La perfection n'existe pas, de même que la cerise sur le gâteau n'est pas le top, vu qu'elle contient un noyau. rire Par contre la gourmandise est bien réelle puisqu'elle fait fi du noyau pour ne savourer que la chair. Bon, je ne sais pas si j'ai bien atteint la cible avec ce raisonnement plus sensible que sensé.... En espérant que la muse saura repasser les plis, Merci Tonin

Oxalys [08/06/19 09:32] Oh, ce n'est pas tellement l'illusion qui m'a inspiré ce poème, Martial. Trop réaliste pour me faire de l'illusion. C'est plutôt l'étonnement de constater que ce qu'on croit éphémère reste gravé (pour l'éternité ?) dans une mémoire externe.. Reste à savoir ce qu'est l'éternité.. Une question, comme le dit justement Mady plus bas, dont la recherche de réponse fait grandir. Amicalement

Saintes [07/06/19 20:37] Et touchant du doigt le ciel nous rêvons d'une éternité qui n'est pas. Le cycle de la vie est la vie elle même et nous sommes des passeurs de culture, des passeurs de civilisation, le chaînon indispensable des générations.

Tonindulot [07/06/19 20:05] Je suis surpris de découvrir que la perfection n'existait pas... J'ai longtemps pensé que je ne présentais que des trucs parfaitement compris en cible... Je vais remettre le sujet sur le métier... Vous avez mis là un pli sans pli... Bravo

Martial [07/06/19 16:26] Un si beau poème pour parler d'illusions ! Je préfère me tourner vers l'éternel qui sait la beauté et l'amour. Je vote pour, Madame.

Oxalys [07/06/19 10:45] Combien tu as raison, Mady ! que de questions sans réponses, qui font grandir, tant qu'on est capable de se les poser, mais ramène la condition humaine à sa plus simple expression : nous qui sommes si imparfaits puisque mortels, comment et pourquoi avons-nous l'audace de briguer l'éternité ? Voilà un sujet que je verrais bien traité dans le thème du mois "vulnérable"... Je t'embrasse chère Mady

Oxalys [07/06/19 10:37] Avant de parier quoi que ce soit, Obo', il faudrait qu'on définisse exactement ce terme de "postérité" Descendance généalogique - affective ? Descendance spirituelle - célébrité ? Descendance matérielle - legs devenu anonyme par manque d'affection et/ou de célébrité ? Que de questions sans réponses !

Oxalys [07/06/19 10:22] Merci Colette pour la subtilité de ton commentaire permettant d'élargir le champ de réflexion sur la pérennité de l'art (dont fait partie la poésie)... J'ai écrit ce pantoum suite à la découverte de pans entiers de poèmes que j'avais écrits (en duo) sur un site disparu du net. Si l'adresse n'existe plus depuis plusieurs années, les archives sont toujours consultables. D'où mon étonnement : combien de temps les traces que nous avons laissées sur la toile seront-elles lisibles ? Tant que durera ce système de communication, ou mieux encore, tant que durera l'humanité ? Et après ?

Madykissine [07/06/19 07:40] C'est très beau, Cathy, la forme et le fond se correspondent parfaitement. Les questions sans réponse... nous font grandir, je crois, peut-être Bises ensoleillées avant la pluie (ça aussi, c'est... aléatoire) Mady

Ancienmembre [06/06/19 18:46] La forme du pantoum exprime bien le côté un peu obsessionnel de la question. Une chose est sûre Oxalys, tes poèmes passeront à la postérité. On prend le pari ?

Ombrefeuille [06/06/19 18:22] Se survivre ... Une commune aspiration qui traverse toute l'histoire humaine. La forme du pantoum convient à merveille à ce questionnement peut-être encore plus aigu à notre époque marquée par la dématérialisation ... Car nous sommes incarnés, et il est difficile de penser à l'après uniquement sur le web.

Oxalys [06/06/19 10:31] Merci Colline de souligner l'essentiel dans ce pantoum : la passion partagée. C'est justement le message que je voulais faire passer. Amicalement

Oxalys [06/06/19 10:26] Naroic, les répétitions sont la régle du pantoum avec en plus la mise en présence de deux concepts différents. Ici, la finitude de l'être vs la survivance de l'oeuvre, qu'on ait connu ou non la célébrité de son vivant. Internet, la fameuse toile aux étoiles, est une mémoire prodigieuse qui fait de chaque envoi un lumignon éternel, un testament irréfutable. Rien ne s'y perd, tout s'y retrouve...

Colline [06/06/19 07:35] Les vers pour commune passion....un delice

Naroic [06/06/19 03:50] hello Beaux phonèmes de répétitions...Ne as laisser de traces est une belle entreprise écologique : )