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Cielbleu [26/02/20 16:50] Bonjour Michel, Les catacombes, un endroit intéressant à visiter. Le sujet ne fait pas rêver mais le sonnet est de qualité. Amicalement. Gérard.

Lastours [21/02/20 08:20] Eh bien, c'est l'occasion pour tous les deux de faire connaissance.

Kerdrel [20/02/20 08:53] un sonnet très bien écrit, un auteur que je ne connaissais pas

Lastours [20/02/20 08:26] Oublions donc tous ces cranes entassés les uns sur les autres et pensons plutôt à ce merveilleux printemps qui s'apprête, une fois de plus, à venir nous rejoindre. Amitiés.

Matriochka [19/02/20 16:46] Ce poème, où l'atmosphère un brin angoissante est bien rendue, me rappelle justement les Catacombes de Paris (Place Denfert-Rochereau) que j'ai eu l'occasion de visiter. Une expérience... insolite, j'étais avec ma mère, elle voulait faire demi-tour quand elle a été prise d'effroi et de dégoût morbide à la vue de tous ces ossements empilés et de ces piliers de crânes! Une telle visite ne s'oublie pas!

Lastours [18/02/20 08:18] Je t'invite donc à visiter sans tarder l'ossuaire de Paris; ce n'est pas les Seychelles mais ça laisse des souvenirs inoubliables.

Domenica [17/02/20 17:33] Très beau poème, si bien écrit, sombre bien sûr mais le sujet est très bien rendu, bravo..

Lastours [17/02/20 08:41] Il s'agit dans mon poème de l'ossuaire de Paris qui est , parait-il, très impressionnant avec ses milliers de cranes entassés les uns sur les autres mais, promis, la prochaine fois, je fais quelque chose de plus gai. Amitiés.

Ombrefeuille [16/02/20 16:42] Ce monde où tout se tait, où tout s'arrête, car c'est un seuil, entre le vivant et l'éternel, entre le temps et la fin du souffle ... Un sonnet parfait qui salue ainsi qu'il se doit la mémoire de ceux qui reposent dans l'anonymat des ossuaires. J'ai visité à douze ans celui de Douaumont, où reposent des milliers de soldats tombés au cours de la Grande Guerre, et j'en garde un souvenir qui tient du sacré et du silence.