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LES COMMENTAIRES RECUS:


Patrick45 [23/02/20 11:24]
Merci pour votre très juste analyse, on dirait que vous me connaissez.



Kalistaine [22/02/20 20:49]
Les mots, un à un, glissent comme une aile au creux de la nuit, de son silence accablant.
Ils glissent comme une lame, aussi, posée à même la peau. On en ressent le froid, le frôlement insidieux.
Ce n'est pourtant pas une plainte, ce n'est pas même un cri, c'est, peut-être, ce qui déroute le plus dans ce poème où le poète ne cesse d'affirmer son essence mouvante ("Je suis..."), jusqu'à la fragilité de son existence ("Je suis maintenant...").


Patrick45 [22/02/20 00:40]
superbe, je ne connaissais pas et cela me semble tellement approprié...
Merci beaucoup. très sincèrement.


Vie [21/02/20 21:30]
https://www.youtube.com/watch?v=40Br07CF0qk


Patrick45 [21/02/20 18:21]
Merci Ombrefeuille.
Je souhaitais évoquer le geste irrémédiable que certains font parfois.


Ombrefeuille [21/02/20 18:17]
Une métaphore de la vie, peut-être ?
On croit tout connaître des autres, et on oublie de voir le temps qui, en passant, comme ça, l'air de rien, nous prépare un déclin inexorable ...

Même si je suis "à côté" du sens de ce poème, j'ai aimé y trouver cette résonance en filigrane.


Patrick45 [21/02/20 12:12]
Merci de cette belle réponse


Arcane [21/02/20 10:13]
Je connais un sinistre message
A descendre les escaliers,
Depuis le cinquième étage
Certains ne se sont pas soucier …

Le quartier était fort ancien,
Nul ne se souciait de son âge,
Pourtant un fatidique matin
Déserté de tout ancrage
Il fit des habitants de sinistres pantins ….

En souvenir de Marie, victime de l'effondrement de son immeuble , déjà célébrée dans une de mes poésies