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LES COMMENTAIRES RECUS:
Salus [11/05/20 09:55] Bah, oui, je sais bien, mais je ne veux pas le déranger pour si peu, merci ! |
Philippeb [10/05/20 19:13] Salus, un conseil : pour remettre le D du destin dans le titre, il faut le demander directement à Eric : lui seul le peut ici, c'est Dieu en quelque sorte...ou le Destin ! Bien cordialement. |
Salus [09/05/20 19:55] Salut, Lili ! (Ah là là, tu l'as lu ?) - c'est celui qui lit qui l'est ! |
Lili [09/05/20 19:09] Désarçonné le Destin..! |
Salus [08/05/20 17:19] Suppose Gérer Puis ose Gréer : De, tire, Vacarme, Ta lyre, L'alarme ! Qu'il reste L'humeur D'un zeste De cœur ! - Sois leste Slameur... |
Coroner [07/05/20 16:10] Hantise Je n’ose Créer Ces Choses Sacrées : Le Rire, Les Larmes Ou pire Le Charme! Modeste Rimeur Mon geste Se meurt... Du Reste… J’ai peur ! |
Salus [07/05/20 12:26] Quel qu'il soit, et comme dit si bien Verlaine (au vent mauvais) : (...) De la musique encore et toujours ! Que ton vers soit la chose envolée Qu'on sent qui fuit d'une âme en allée Vers d'autres cieux à d'autres amours. Que ton vers soit la bonne aventure Eparse au vent crispé du matin Qui va fleurant la menthe et le thym... Et tout le reste est littérature. (Derniers quatrains de "Art Poétique") |
Coroner [07/05/20 10:15] autodérision le vers ouvert "qu impose" la prose, les rimes absentes que chantent leurs mimes ne plaisent à l àise de mon démon; deux yeux c est mieux ! |
Salus [06/05/20 20:00] CinquiemeVallee : - Que ton eau te damne, aède ! Lastours : Sonnet Ce soleil-là n’est pas le mien J’y brûlerais ma pauvre face Sans atteindre au profil rapace Du versificateur ancien Le sonnet n’est-ce pas dépasse En lui-même un art parnassien Et je hais l’académicien Que toute entorse au code glace S’il faut pour briller assoner Subtilement déraisonner En révérant l’utile règle Je préfère en utilisant Du croupion les plumes de l’aigle Glisser au lof dans le brisant Coroner : Néoclassique L’incohérente tranquillité De la mourante fabulation, Le disparaître de la fiction , L’impréhensible, cette effraction Perpétuelle du limité, S’il en déplore l’heure fatale, S’il en condamne, folle incurie, L’imaginaire - l’âme surie – Et vilipende son ânerie - Qu’on pourrait croire parastatale, L’impréhensible se défendra Et fera croître l’irréel vrai ! Ainsi, comme Michael Faraday, Comme la ponte, le temps du frai - Et comme l’ombre sous l’œil de Râ, Tant qu’un poète, Pégase, rêve Que tu galopes dans les nuages, L’extravagance passe les âges, Nos nefs carènent leurs renflouages, Et l’immortelle Muse est notre Eve ! Hicvelibi : Distique heureux reçu, car loin d'être secs, ces Quelques sons agencés aux vers donnent accès ! |
Ancienmembre [06/05/20 12:20] Ce texte qui de mots ne souffre pas d'excès Par son fond et sa forme est déjà un succès |
Coroner [06/05/20 11:51] La bouche Béate Je louche Les strates De l’art Bizarre De vos Travaux, Sur quoi Vos phrases Se croisent, Narquois Des règles Vous l’aigle ! |
Lastours [06/05/20 08:39] Eh bén dis donc, y'en qui sont doués pour inaugurer de nouvelles formes. Bravo pour ce sonnet hors-normes qui en ravira certains mais fera peut-être hurler les vieilles barbes mais on s'en fout: vive l'originalité. |
CinquiemeVallee [05/05/20 23:02] C'est dès Sisyphe Être en chant ! |
Salus [05/05/20 22:32] C'est dommage, le "D" majuscule du "Destin" de mon texte à disparu ; c'est moins compréhensible. (et le titre est incorrigible !) |