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LES COMMENTAIRES RECUS:


Maldoror [12/03/17 18:26]
Merci à tous pour vos lectures ! Il est vrai que j'ai été assez fasciné par la dualité de l'art entre l’apollinien (la perfection des formes des arts plastiques telle que la sculpture) et le dionysiaque (l'ivresse, la spontanéité, l'expression cathartique des impulsions primitives) à la lecture de "La naissance de la Tragédie" de Nietzsche et du "Théâtre de la cruauté" d'Artaud.


Banniange [11/03/17 14:27]
Redonner un sens plus pur aux mots de la tribu tel était le programme déclaré de Mallarmé que rejoint ce beau poème au ton imprécatoire!


Saintes [11/03/17 05:47]
À la première lecture j'étais passé trop vite sur le titre. Merci à Oxalys pour son commentaire. Ceci dit je partage son point de vue et celui du texte, même si je ne suis pas aussi sévère sur "des siècles de vieilles et chastes enluminures".
Pour le reste Marcek l'a très bien exprimé.


Oxalys [10/03/17 21:50]
Le titre fait aussitôt penser à la première phrase de Jean l'évangéliste "au commencement était le verbe"

Qu'est-ce que le verbe, sinon cette "gorge gorgée de sang" sans laquelle la raison ne serait pas et la lecture inexistante.

Un texte fort qui remonte loin aux origines de l'existence humaine.
Enfin, c'est ainsi que je l'interprète !


Marcek [10/03/17 10:40]
Cette transe de paroles me laisse pantoise en cette orgue de mots ! Bravo !